Les objets, les lignes, la matière, le mouvement, les parallaxes. Les tags colorés démarquant l’asphalte. L’abîme du temps jusqu’au retour du quand?

Merci de nous avoir suivi!

un film de Richard Turban et Stéphane Garin assistante de réalisation Margot Ricordeau assistant de production Michel Riothon Pannetrat écrit et narré par Richard Turban cadré et monté par Stéphane Garin régie Association Nozarts production exécutif Stéphane Garin et Philippe Guillaume les voyageurs Manon Dubois, Latif Diaby, Gérard Guillaume, My Ly, Margaux Legrand, Kevin Levrard musiques « Particule » de Silence, album « L’autre endroit » et « Far Away master » de Bitrixx, album « Stuffy » remerciements Aude Le Goff, SNCF, Direction Régionale, Communication, Paris Rive Gauche et Catherine Henry, SNCF, Établissement d’Exploitation Voyageurs, Paris Est ainsi qu’à tous les voyageurs des gares Montparnasse et Gare de l’Est ainsi que leurs employés, spéciale dédicace à Claudine Trunet, Serge Kergourlay et Timoty Savoure qui n’ont pu être montés, merci à eux pour leur participation peinture de la Gare de l’Est de Albert Herter, « Le Départ des poilus, août 1914″

une production InDOF ©2013

Marcher, parcourir, reprendre. Une superposition des formes et des couches. Un combat remontant et orienté pour la dernière touche.

Trouver le chemin, le bon axe, le bon moment. En se laissant toucher par la grâce, les marques, les événements, les conventions et autres subjectives orientations.

Trouver la bonne prise, la bonne étoile. Transvaser, transformer, réagir, apprendre, entreprendre, récolter : la superficie de nos espoirs.

Trouver le bon angle, le bon style. S’appauvrir d’histoires et de rencontres. Trouver le bon œil. Trouvez des signes.

Dans le Hall Alsace de la Gare de l’Est, une peinture monumentale d’Albert Herter de 60m² intitulée : « Le départ des poilus, Août 1914″, centenaire durant ce court métrage, relatant les sentiments ressentis sur le quai ainsi que l’hommage au fils de l’artiste, Everitt, peint sur ce tableau brandissant le « V » de la victoire, avant de mourir au front près de Château-Thierry en 1918.

Au début du 20e siècle, de nombreux Bretons s’installent dans les quartiers environnants pour trouver du travail. La gare Paris-Montparnasse traite environ 115 000 trains par an ainsi que 175 000 voyageurs par jour.

Une refonte de l’espace intérieur est inaugurée en 1990 à l’occasion de la mise en service du TGV Atlantique ; elle mêle une façade de verre appelée la « porte Océane », au-dessus, un espace vert appelé le jardin Atlantique. La gare compte 28 voies à quai, 300 agents, 85 guichets de vente et 73 distributeurs automatiques.

La première gare Montparnasse, appelée alors « gare de l’Ouest – Rive gauche » est construite en 1840 au bord du boulevard du Montparnasse.